Des encadreurs qualifiés et de qualité à la disposition des apprenants.
Un cadre et du materiel ideal pour votre formation.
Un certificat vous est delivré pour servir et valoir ce que de droit.
IL a ouvert ses portes le jeudi 27 octobre 2000.
Il résulte de la convention de partenariat signée le 17 Mai 1997 entre le Maire du District de Bamako et le secrétaire permanent de l’Association Internationale des Maires
Francophones (AIMF).
IL est animé un personnel du CAP de Bamako Coura affecté pour la circonstance. Dans la mesure où le centre est administré par des travailleurs de l’éducation avec pour population cible les élèves
et maîtres principalement, nous estimons que les autorités de l'éduction doit s’en approprier car bien exploité, le centre peut offrir de multiples services (initiation de maîtres et élèves à l’outil informatique, accès à l’information,
consultation de logiciels educatifs, gestion numerisée de l'administration scolaire, etc.)
L'objectif principal du Centre est d'initier les élèves et enseignants aux TIC et de faire une réalité l'intégration de ces technologies à l'éducation fondamentale au Mali.
Disposant d'une grande expérience et d'une grosse détermination d'initier les élèves dépuis les pétites classes (âge à partir de 9 ans); nous possédons une fondamentale pédagogie pour leur faire decouvrir et manipuler un ordinateur
de façon utile; nous pouvons avancer sans nous tromper qu'il est nécessaire et très instructive d'initier les jeunes élèves aux Technologies de l'Informatique et de la Communication (TIC).
Il est plus qu'urgent t'intégrer
ces puissants outils dans le programme du fondamental au Mali.
Etant donné que l'informatique n'est plus pour le futur mais le présent, il est essentiel de créer l'engouement auprès des enfants de l'indispensabilité
de l'outil informatique de nos jours afin qu'ils soient outilés pour une éducation de qualité.
Avec une pédagogie adequate tout enfant peut être initié à l'informatique.
Par Prof. Dr. Djénéba TRAORE
Le présent texte se propose d’établir l’état des lieux et la pertinence des TIC dans l’éducation au Mali. Classé dans la catégorie des dix pays les plus pauvres du monde, le Mali est confronté à d’énormes difficultés dans le secteur
de l’Education, notamment dans l’atteinte des objectifs de l’EPT à l’horizon 2015.
Face au rôle de plus en plus important que jouent les nouvelles technologies dans les principaux secteurs de la vie active, le recours
aux TIC apparaît pour les politiques comme un facteur incontournable dans le processus de développement économique et social.
Préoccupé par la question, le Réseau Ouest et Centre Africain de Recherche en Education (ROCARE)
a mené de 2003 à 2005 en collaboration avec l’Université de Montréal (Canada) une étude transnationale d’envergure sur l’intégration des TIC dans l’Education en Afrique de l’Ouest et du Centre. L’étude concluait sans surprise
que les TIC peuvent contribuer de manière significative à l’amélioration de la qualité de l’enseignement, à condition toutefois que des mesures d’accompagnement soient prises et que les enseignants soient formés aux TICE.
Cependant, l’intégration des TIC et des dispositifs de formation à distance dans les institutions de formation doit faire l’objet d’une analyse plus approfondie, car le recours aux TIC est caractérisé d’une part par la naissance
de tensions et de concurrences parmi les acteurs de l’école et les différents partenaires au développement, d’autre part par des questionnements existentiels sur les risques culturels et identitaires de cette pratique révolutionnaire
à bien des égards.
Par ailleurs, malgré la volonté politique affirmée au plus haut sommet de l’Etat malien en faveur des TIC, le transfert des nouvelles technologies, notamment dans l’éducation, s’effectue difficilement
en raison des contraintes économiques et des pesanteurs socioculturelles.
L’article tente de prouver que les impacts positifs des TIC sur le développement social et le processus d’amélioration du système éducatif l’emportent
nettement sur les aspects négatifs enregistrés.
Plus
Dans le domaine de l’accès aux Technologies de l’Information et de la Communication (TIC), la « fracture numérique » constitue l’une des caractéristiques
principales du continent africain. La jeunesse africaine qui représente près de la moitié de la population de cette partie du globe, constitue un espoir indéniable pour combler le fossé existant entre les pays du Nord et du
Sud dans ce domaine. Ainsi, malgré les contraintes dues entre autres aux coûts élevés du matériel et des équipements informatiques, au manque d’infrastructures de base et à l’insuffisance de la couverture énergétique, les nouvelles
technologies occupent de nos jours une place grandissante au niveau de la quasi-totalité des secteurs d’activités de l’ensemble des pays africains.
En prenant en compte le potentiel de l’Afrique pour l’essor des TIC,
le Sommet Mondial sur la Société de l'Information (SMSI) de Tunis (16-18 novembre 2005) a contribué à renforcer le positionnement du continent africain dans l’ère des nouvelles technologies et du numérique. L’Afrique qui a
pris une part non négligeable au développement de la science à travers les différentes étapes de l’humanité, est plus que jamais consciente de la nécessité d’investir dans les innovations technologiques en vue d’inciter la
coopération économique et d’accélérer le cheminement vers une intégration régionale harmonieuse entre les différents Etats qui la composent.
Cependant, saura-t-elle en tirer les gains escomptés ? L’intégration régionale
est un processus lent et complexe requérant des efforts financiers colossaux ainsi qu’un dialogue permanant entre l’ensemble des acteurs concernés. En impactant sur les systèmes d’organisation et la dynamique du travail individuel
et collectif, les TIC accélèrent l’essor économique et les transformations sociales.
Ce faisant, l’outil informatique peut servir de levier pour créer de meilleures conditions de vie et de travail au profit des peuples,
conformément à la Vision 2020 de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
Les bénéfices des TIC dans le secteur de l’éducation ne sont plus à démontrer. Pourtant, de nombreux défis doivent encore
être relevés en vue d’étendre leur accès sans exclusive aux enseignants, aux apprenants et au personnel administratif des établissements scolaires et universitaires.
Dès lors, la démarche des Etats africains devrait
consister à concevoir, à élaborer et à mettre en œuvre des politiques éducatives innovantes permettant d’une part, d’améliorer la qualité des enseignements et des apprentissages et, d’autre part, de prendre en charge les changements
de paradigme consécutifs à l’intégration des nouvelles technologies dans l’éducation. Selon les conclusions de la Conférence Bamako +5 d’octobre 2009, pour atteindre les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD),
l’Afrique aurait besoin de 4 millions d’enseignants supplémentaires pour le cycle fondamental. La Formation à Distance (FAD) pourrait constituer une excellente alternative et pallier les difficultés dues à la faiblesse des
budgets disponibles, au manque de formateurs et à l’absence de documentation.
Dans le domaine de l’économie, le continent africain a besoin d’innover sur le plan technologique afin de disposer d’outils de production
adaptés aux besoins des travailleurs, notamment du secteur agricole. En outre, ces outils de production doivent être susceptibles d’insuffler une réelle dynamique et davantage de synergie au sein des entreprises.
L’industrialisation,
qui en favorisant une hausse significative de la productivité, constitue l’un des éléments clefs du développement économique, est fortement liée au recours aux TIC.
Désireuse d’orienter de manière stratégique la région
vers le progrès technologique, la CEDEAO a initié en 2004 sa Politique Science, Technologie et Innovation (ECOPOST) dont le plan d’action est entré dans sa phase opérationnelle en 2013. Il faut cependant retenir que les TIC
ne sont une recette magique et que leur impact ne sera visible, tout particulièrement dans les secteurs de l’intégration régionale et du développement économique, que si leur implémentation est soutenue par une volonté politique
clairement affichée et leur gestion guidée par le respect des normes éthiques et déontologiques.
Prof. Dr. Djénéba TRAORE
Former est un devoir!.
à votre service
Je suis un passionné pour transmettre mes modestes connaissances aux autres!
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Vous avez besoin de rebooster votre personnel ou de le mettre à jour sur les logiciels, vous êtes au bon endroit.
Vous avez aussi besoin d'initier vos enfants (à bas âge) à l'outil informatique, vous avez fait le bon choix en nous les confiant.
Mamadou Konaté était un homme politique malien, né en 1897 à Kati au Mali. Député actif, il fut le 1er vice-président africain-noir de l'Assemblée nationale française. Il fut également parmi les pionniers leaders politiques partisan d'un Mali indépendant.
Le groupe scolaire dans lequel se situe le Centre est baptisé au nom de ce illustre homme.